À titre personnel, j'estime que c'est une vraie question, non seulement parce qu'elle répond à l'attente d'une majorité de nos concitoyens, mais également parce que poser cette question ici, comme pour la fin de vie, contribue à faire évoluer la réflexion. Inéluctablement, nous devrons un jour légiférer sur ce sujet. Je sais aussi que, pour en arriver là, chacun doit suivre un chemin personnel. J'ai fait ce travail sur moi-même et cela n'a pas toujours été évident.