Je voudrais, à titre personnel, monsieur le rapporteur général, faire quelque chose pour vous.
Je vous ai déjà mis en garde en commission des finances – mon propos a été repris par d'autres – contre l'exemple que vous aviez choisi. Acheter en 1997 un bien immobilier de 350 000 euros, soit plus de deux millions de francs à l'époque, c'était déjà un gros achat. Je sais bien que l'île Saint-Louis ou le VIe arrondissement sont encore plus chers. Mais ayez conscience que tout cela représente moins de 1 % de la réalité française. Les législateurs que nous sommes ne doivent pas se caler sur une réalité aussi particulière pour justifier ce qu'ils font.