Je le sais, madame la présidente, mais votre silence montrait combien vous étiez attentive à ce que je disais parce que c'était convaincant ! D'ailleurs, je suis convaincu que même M. le ministre, qui est économe en paroles depuis le début du débat, ne manquera pas de répondre à mes arguments à la fois sur le fait qu'il s'est fait remonter les bretelles par l'Union et qu'il n'en a rien dit pour l'instant, sur l'impôt de Mme Bettencourt et sur mon amendement.