D'autant plus que le dialogue social a reculé avec la loi du 20 août 2008 : désormais, l'employeur peut mettre en place un temps partiel modulé sans apporter les garanties obtenues par l'accord collectif.
Ainsi, le temps partiel est synonyme de précarité, mais aussi de flexibilité. Les salariés à temps partiel subi aimeraient travailler plus pour gagner plus, mais elles ne peuvent cumuler un deuxième emploi.
Le temps partiel est généralement choisi par des personnes désireuses de s'occuper de leurs enfants. C'est pourquoi il nous semble intéressant d'aborder la problématique dans le cadre d'une négociation portant sur l'articulation entre vie personnelle et vie professionnelle.