Même les collectionneurs étrangers sont très contents d'être connus à Paris !
Tout cela ne tient donc pas la route. Nous ne sommes pas là pour organiser les détails de la mise en oeuvre. Pour cela, il y a le Conseil d'État.
En vous écoutant tout à l'heure, monsieur le ministre, je me disais que vous aviez un vrai talent d'improvisateur. Mais, en réalité, vous êtes comme certains musiciens : vous faites des variations sur un thème qui a déjà été écrit. Or ceux d'entre vous qui étaient déjà là en 2000 se rappelleront certainement d'une intervention de Christian Pierret, qui remplaçait Florence Parly, celle-ci attendant un heureux événement. La discussion portait sur le même sujet que ce soir. Christian Pierret avait les mêmes arguments que les vôtres. Il lisait un texte et, en l'entendant, je trouvais cela bizarre car j'avais l'impression de le connaître. À ce moment-là, j'ai regardé dans mes papiers et j'ai retrouvé le texte en question. De qui était-il ? Pas du tout de Christian Pierret, mais de feu Mme Françoise Cachin, par ailleurs femme de talent et récemment disparue. C'étaient les lobbies qui avaient agi et qui s'exprimaient par la voix du ministre, ce qui me permit d'ailleurs de continuer la lecture du texte, qu'il avait interrompue parce qu'il était long. Or aujourd'hui, monsieur le ministre, avec votre talent d'improvisateur, vous avez décliné ce même texte.