Pardonnez-moi, mes chers collègues, si je vous parais totalement béotienne dans ce débat où s'expriment de nombreux spécialistes en matière de politique fiscale.
Je veux simplement rappeler que nous parlons d'oeuvres d'art, c'est-à-dire d'une chose fondamentale pour l'existence et l'épanouissement de chacun. Comme cela a été dit, le marché de l'art est hautement spéculatif et la valeur des arts d'une grande labilité. Souvenons-nous d'une chose : alors que Vincent Van Gogh s'est suicidé de désespoir parce qu'il n'avait vendu aucune toile, à l'exception d'une à son frère…