Le Gouvernement n'est pas non plus favorable au sous-amendement du président Cahuzac. Dans son esprit, il s'agit d'encourager les collectionneurs privés à prêter leurs oeuvres, mais il faut laisser aux institutions compétentes, publiques ou privées, la liberté de s'adresser aux collectionneurs en fonction de leurs projets de programmation, qu'il n'appartient pas à l'État de définir.