C'est sans doute que le ministre de la culture connaît mal le marché de l'art.
Monsieur Soisson, je connais une grande artiste qui vous est chère. Si vous achetiez demain l'une de ses oeuvres, cette dernière ne serait pas taxée car, Dieu merci ! son auteur est de ce monde. Cela dit, je suis certain que vous ne manqueriez pas de présenter ce bien dans une cave de Saint-Bris, par exemple à l'occasion des vendanges. Vous seriez donc exonéré deux fois.