Aujourd'hui, elles spéculent sur les dettes souveraines des États membres de l'Union européenne au détriment des peuples.
En Grèce, le FMI a imposé, à la demande de l'Europe, un plan dit d'aide parfaitement inhumain. Rendez-vous compte, mes chers collègues, ce pays est tellement à genoux qu'il n'aurait d'autre choix, si les préconisations de l'Union étaient suivies, que de vendre ses ports et ses îles. Et cela n'est pas prêt de s'arrêter !
Avec quelques collègues, nous étions en Grèce il y a deux semaines.