Je vois plus d'avenir à Maurice Leroy qu'il n'en reste à Talleyrand. Après tout, il y a des postes à prendre et, grâce à son sens du consensus, il pourrait demain prétendre au secrétariat général de l'ONU. Je suis du reste sûr que cela ne lui déplairait pas. (Sourires)
Vous avez indiqué, monsieur le ministre, avoir répondu à Mme la sénatrice-maire de Montreuil et je ne doute pas de la pertinence de vos réponses. (Sourires.) Reste qu'en l'état actuel des projets, il sera aussi difficile d'aller de l'ouest à l'est de Montreuil que d'aller de Dole au Kamchatka. (Sourires.) Il faut donc trouver des solutions.
Or les projets gouvernementaux sont comme de grandes rocades qui permettront d'irriguer la région Ile-de-France, oubliant des villes de la proche banlieue est de Paris comme Drancy, monsieur le président…