La gauche hésite toujours entre deux postures.
Parfois, elle reconnaît qu'il y a là un enjeu : par exemple, quand elle organise – ce qu'elle semble avoir oublié – des rencontres sur le thème de la laïcité, comme en décembre 2010. Le PS expliquait alors que ces rencontres seraient l'occasion d'apporter des réponses aux défis qu'affrontent nos principes laïcs face au retour de revendications religieuses ou identitaires dans la vie quotidienne : contestations dans l'enseignement scolaire, refus de la mixité, …