Ce qui est en jeu, c'est la protection de l'embryon, vous l'avez dit vous-même, parce que ce sujet a une signification particulière.
Je veux aussi vous dire une chose : cela n'a pas plongé la France dans l'obscurantisme, car soixante-neuf protocoles de recherche ont été enclenchés depuis 2004 ; onze – sérieusement encadrés, il est vrai – ont été autorisés par l'Agence de la biomédecine sur la question de l'embryon.