Aujourd'hui, deux universités sont concernées par cette dévolution : l'université d'Auvergne et le 13 mai prochain, l'université de Toulouse 1.
Nous avons constitué un groupe de travail qui fonctionne depuis presque deux ans avec une dizaine d'universités (y compris les deux citées à l'instant). La question de la dévolution est très étroitement liée à l'existence, à l'intérieur de l'établissement, d'une compétence de gestion immobilière. Celle-ci doit se construire car nous avons demandé un certain nombre de schémas prévisionnels aux universités intéressées par l'obtention de cette dévolution immobilière. C'est là un travail important qui est réalisé avec ces établissements d'enseignement supérieur et de recherche, pour lesquels il faut le souligner, la gestion immobilière n'est pas le coeur de métier. Pour les deux établissements cités précédemment, la stratégie immobilière vient en appui et renforce une stratégie d'ensemble déjà fixée.