Je comprends bien les enjeux qui sous-tendent cet amendement et suis bien placée pour les comprendre, car nous travaillons à un deuxième plan de santé publique ayant trait à la nutrition.
Cela étant, s'il fallait associer un titre à chaque texte complémentaire, il y aurait vraiment beaucoup de sous-spécialités alors que les spécialités sont déjà identifiées. Prenons un exemple au hasard : certains gynécologues-obstétriciens exercent dans des pratiques très spécifiques comme l'assistance médicale à la procréation, mais n'en restent pas moins gynécologues-obstétriciens.
Sans apporter plus de garantie, la création d'un tel titre ouvrirait la porte à un élargissement de toutes les spécialités, qui deviendraient alors innombrables.