Voilà, madame la ministre, quelques exemples parmi tant d'autres que j'ai souhaité mettre en évidence.
Et je continue encore à chercher en quoi les mesures du CIOM ont pu changer de façon sensible le quotidien de nos concitoyens d'outre-mer.
Malgré l'année qui leur a été consacrée, les outre-mer ont aujourd'hui surtout besoin d'une nouvelle logique partenariale avec l'État, permettant de répondre immédiatement à nos retards structurels et à nos urgences conjoncturelles.
En ce qui me concerne, vous comprendrez bien que ma déception est tellement importante que je poserai avec désenchantement une question, d'autant plus que j'ai fait partie de ceux qui, en Guadeloupe, ont joué le jeu des états généraux, malgré un contexte social et politique particulièrement difficile.
Madame la ministre, quel est l'état d'avancement du plan d'urgence pour la jeunesse et quels sont les engagements de votre Gouvernement pour assurer l'égalité des chances de réussite des jeunes ultramarins ? (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)