Je commence par m'associer aux condoléances présentées par René-Paul Victoria, comme par d'autres de nos collègues.
Sauf erreur de ma part, je serai le dernier orateur ; je voudrais donc dresser un court bilan de ces échanges pour me réjouir, contrairement à ce que j'ai pu entendre sur certains bancs, d'un bilan globalement positif, même si en effet certains aspects sont à parfaire.
Les moyens humains commencent à être largement en place ; les moyens financiers, me semble-t-il, sont là aussi. L'État prend, je le pense très sincèrement, toute sa part de responsabilité. Dix-huit mois après le CIOM, le bilan ne mérite pas le jugement en indignité que certains veulent bien lui faire.