Imaginons un directeur d'ARS qui ne serait pas sans arrière-pensées… S'il y a carence du service public – ce peut malheureusement être le cas parce que l'on diminue les moyens d'un service hospitalier –, la carence peut donc être, sinon intentionnelle, du moins favorisée. Et ce serait le même directeur d'ARS qui donnerait l'agrément pour un service privé ? Nous devons avoir une médecine régalienne. La fongibilité asymétrique ne peut s'appliquer à tous les domaines. Je suis contre l'ouverture de cette possibilité au secteur privé.