Idéalement, nous considérons le travail à temps partiel comme un passage. Mais, comme pour la pénibilité, nous privilégions la voie de la négociation pour faire reconnaître la nécessité de mesures renforcées afin d'aider les salariés à sortir de ces formes d'emplois.
Les salariés à temps partiel ont moins accès à la formation. Y remédier renvoie au co-investissement, mais aussi à l'augmentation de l'allocation formation dans la mesure où les salariés engagent des frais pour les gardes d'enfants. Or, nous avons beaucoup de mal à obtenir cette augmentation dans les négociations de branches.