Monsieur le président, vous n'êtes coupable de rien, nous sommes tous victimes et nous voulons tous que cela se passe bien. Nous avons bien compris la difficulté, et je vous remercie, vous et le président, de vous activer pour trouver une solution.
Nous souhaitons tout de même que nos collègues puissent achever leurs phrases. Je vous le demande en toute amitié, pour le travail que nous partageons et au nom de l'intérêt que vous portez, nous le savons, à ce sujet. C'est sûrement, d'ailleurs, que vous ne puissiez pas intervenir dans le débat qui vous pose le plus de difficulté. (Sourires.)