Madame la ministre, je n'ai pas de doute sur l'intention. Je serais la première à me réjouir que le coeur du parc, et même la totalité du territoire, soit préservé. Je vous rappelle que le parc national amazonien, le parc régional et les espaces protégés représentent plus de 60 % du territoire. Si on peut protéger la biodiversité, la faune, la flore, sur ce territoire, tant mieux.
Ce qui me gêne, c'est l'application. Vous prenez l'exemple de chantiers clandestins dans lesquels on trouverait des traces de braconnage.