Favorable à l'amendement de Mme la ministre et défavorable – à mon grand désespoir – à celui de M. Fasquelle. En effet, le prélèvement quantitatif de gestion n'existe pas en droit. Il est donc préférable, comme le propose Mme la ministre, de faire référence au plan de gestion cynégétique, qui, lui, existe. L'amendement n° 72 me paraît donc – pardonnez-moi, monsieur le professeur (Sourires) – juridiquement plus solide.