Ce n'est pas tout à faux, ni tout à fait vrai, monsieur Juanico. (Sourires.)
Vous connaissez les chiffres par coeur et le sujet sur le bout des doigts, monsieur le député, mais, dans ces conditions, il faut tout dire. Vous n'ignorez pas qu'en 2010, il s'agissait d'un dispositif de coeur de crise. Dans mon département, l'Aisne, on comptait 6 100 contrats aidés pour l'année. Au 15 octobre, les compteurs ont été arrêtés à 5 950 ; il en restait 150 jusqu'à la fin de l'année. La gestion de l'année dernière ne représente donc pas pour moi le modèle à suivre, je le reconnais.