J'ai bien compris qu'il y avait deux questions.
Monsieur Méhaignerie, il y a aujourd'hui 25 % d'apprentis dans le supérieur. Nous voulons voir, avec le cabinet de Valérie Pécresse, comment nous pourrions améliorer les choses, tout en n'oubliant pas qu'il existe tout un débat sur le quota et le hors quota. Nous voulons que la taxe d'apprentissage finance directement l'apprentissage. Si vous voulez des ponts, moi je ne veux pas non plus couper ce qui peut exister aujourd'hui.
Nous avons décidé de geler le montant actuel. Rien n'est retiré aux grandes écoles, qui se tournent vers la formation en alternance. Mais le développement futur se fera notamment pour financer les CFA. C'est là que se situent les besoins les plus importants.
Les facultés qui ouvrent des sections d'apprentissage, monsieur Méhaignerie, ne perdent pas d'argent. Il est très important de le dire.