Vous avez rappelé que l'Afrique sub-saharienne constitue, à raison, la première des priorités de la politique de coopération, comme l'énonce le contrat d'objectifs et de moyens en page 8. Il y est fait mention de la concentration préférentielle en direction des pays pauvres prioritaires, figurant sur une liste arrêtée par le CICID du 5 juin 2009. Pourriez-vous préciser les critères concourrant à l'établissement de cette liste et si elle a fait ou fera l'objet d'une actualisation, tenant compte notamment des crises de la dette.