Lorsque l'on voit ce que l'on demande à nos concitoyens pour un simple permis de construire, ou un permis de travaux, et ce que nos rapporteurs ont constaté s'agissant des permis accordés, on constate une différence qui n'est pas acceptable.
Ensuite nous voulons l'interdiction de l'exploration et de l'exploitation, ainsi que l'abrogation des permis qui ont été validés.
Par ailleurs nous souhaitons savoir, à moins de vouloir rester totalement ignorants, quelles sont les ressources dont pourrait disposer notre pays, et comment pourraient évoluer les techniques d'extraction. Ce n'est que bon sens.
Que devons-nous faire ?
La commission du développement durable s'était emparée du sujet avant qu'il ne produise cet émoi dans le pays. Dès le 1er mars, nous avions désigné deux de nos collègues, MM. Gonnot et Martin, pour nous proposer un rapport d'information permettant de faire le point.