En ce qui concerne la convergence entre la Grande Bretagne et le France, les accords se multiplient effectivement dans tous les domaines.
Quant au nombre des essais, c'est difficile à dire, car nous ne sommes pas dans le « chaud ». Quant à la partie « froide », ce sera sans doute de l'ordre de la dizaine par an. Mais l'intérêt de cette coopération réside aussi dans le fait que, non seulement, on dégagera des économies, mais aussi que l'on aura accès aux données britanniques et, par conséquent, que l'on aura une double estimation grâce aux aspects comparatifs.