Monsieur le ministre, vous êtes un homme comblé. À peine installé dans vos fonctions, vous voyez surgir la crise de la Libye, le dénouement de celle de la Côte d'Ivoire, la mort de Ben Laden, sans parler de l'Afghanistan et de toutes les questions qui existaient auparavant. Vous ne pouviez vous attendre à mieux !