Je ne répéterai pas ce que vient de dire excellemment M. Préel : les plafonds s'aggravent – 36 milliards d'euros dans un cas et 8,4 milliards d'euros pour le FFIPSA, au lieu de 7,1 milliards.
Je reprends à mon compte la remarque de Gérard Bapt : certes, cette dette est logée à l'ACOSS, mais elle ne s'amortit pas. Certes, le taux d'emprunt pour l'ACOSS est très compétitif par rapport à celui de la CADES, mais il y a une grande différence : la dette, je le répète, ne s'amortit pas. Nous savons tous que cette situation ne pourra pas durer et que ce n'est pas ce PLFSS qui la réglera.