Je vous remercie, monsieur le président, de me redonner la parole.
Je voudrais apporter deux précisions.
La première concerne ce qui serait le traitement égal et également loyal – oserai-je dire – de ce texte à l'égard du Gouvernement et du Parlement.
Monsieur Jacob, je ne peux pas vous laisser dire que l'encadrement des parlementaires est à la mesure de l'encadrement du Gouvernement. Comme député, vous n'avez jamais déposé de proposition de loi de finances et le Gouvernement – c'est d'ailleurs heureux – gardera l'initiative, et lui seul, des lois de finances.