Laissez-moi y venir. Je voudrais dire au ministre que son ton patelin, benoît, ne change rien. Il a beau prêcher l'oecuménisme, tout cela n'est pas crédible et il n'arrive pas à dissimuler le fond de l'affaire : il s'agit d'introduire, dans notre loi fondamentale, des contraintes destinées à bâillonner l'expression souveraine du peuple dont nous sommes les représentants.