Jusqu'à la crise, certains pouvaient s'imaginer que les déficits publics pourraient se creuser impunément. Nous savons maintenant que les États sont vulnérables – même les États-Unis viennent de se le faire rappeler par le marché.
Nous devons nous imposer une discipline : le temps des bonnes intentions et des reniements doit céder la place au temps de la responsabilité envers les Français et les générations futures. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)