En tant que fonctionnaire, j'ai accepté ces responsabilités parce que j‘ai la conviction que nous pouvons agir. Rémunérée grâce aux impôts des Français, je me dois de faire le maximum, dans le cadre imposé. C'est dans cet esprit que j'ai proposé le programme d'actions interministériel.
Le fait que les choses n'avancent pas assez vite ne tient pas seulement à un problème de volonté politique – en matière d'égalité professionnelle, six lois ont été votées depuis 1972 – : on est aussi confronté à une résistance collective.