Ces mesures n'avaient rien à faire dans le projet de loi portant réforme des retraites : nous n'avons cessé de le répéter lors de son examen. Pour rattacher cette mesure au texte, M. Woerth a pris le prétexte de l'inégalité des pensions consécutive à l'inégalité des salaires et des carrières. Or, il convenait d'améliorer les pensions des femmes qui partent aujourd'hui ou qui partiront sous peu à la retraite, mais cela, malheureusement, nous ne l'avons pas obtenu !
La loi prévoit-elle un cadre pour le plan d'action ou est-ce la liberté la plus totale ? L'appel à des consultants favorise-t-il l'émergence de plans-types ?