Nous devons prendre une initiative permettant à nos équipes d'intervenir auprès des inspecteurs du travail.
Alors même que la RGPP et la crise provoquent des goulets d'étranglement, chacun sait qu'un accord coûtera de l'argent, qu'il s'agisse des salaires – un retard de 5 % reste inexpliqué –, de la formation, des conditions de travail ou de l'articulation du temps de travail, notamment en ce qui concerne l'accueil des jeunes enfants.