Tous les cas de figure existent et rien n'est jamais définitivement acquis : c'est le cas des négociations actuelles à France Télécom qui se révèlent beaucoup plus difficiles qu'il y a trois ans. Des retours en arrière sont toujours possibles. Il ne faut jamais relâcher la pression.
Madame la présidente, le sondage que vous avez commandé met-il en regard la connaissance du RSC et l'accord sur l'égalité professionnelle ?