La création de l'Institut français a été dictée par l'ambition de conduire une politique culturelle redonnant à la France un dynamisme intellectuel, culturel et linguistique aujourd'hui menacé. Sans revenir sur la forme d'EPIC de l'Institut, quels sont vos moyens pour réaffirmer une telle ambition politique ?
Par ailleurs, quelle est l'articulation entre une structure recentralisée – très « parisienne » – et ses différentes « filiales » à l'étranger ? Comment, dans ce contexte, prendre en compte les diversités et initiatives locales ?
Enfin, quel est le rôle du ministère des affaires étrangères dont vous dépendez pour défendre, valoriser voire moderniser la francophonie qui n'a plus d'interlocuteur clairement identifié au sein du Gouvernement ?