Je vais m'expliquer.
En adoptant cette disposition, nous nous priverions d'une des réponses les plus efficaces au problème des « déserts médicaux » et à la crise de vocation pour la médecine libérale – problème et crise qui concernent aussi bien, comme cela a été souligné, les zones rurales que les zones urbaines sensibles.
De plus, nous priverions les maisons de santé de certains spécialistes qui exercent en secteur 2, tels que les ophtalmologistes, les ORL, les psychiatres, ce qui serait, à mon avis, un mauvais calcul.
Ajoutons que, de leur côté, les centres de santé offrent une gamme étendue de soins ambulatoires – médecine générale ou spécialité, soins dentaires, soins infirmiers –…