La France a aussi une histoire, un système de santé qui repose sur un équilibre entre la médecine de ville et la médecine en établissement, entre les établissements publics et les autres établissements de santé. Nier cette réalité, c'est vouloir enfermer la médecine dans un carcan qui n'est pas son histoire, ni son avenir.
Quant à notre soi-disant « heure de vérité » sur le médicament, permettez-moi, monsieur Paul de vous rappeler que, si certains de vos collègues pourraient en parler avec davantage de crédit, nous n'avons pas besoin de polémiquer sur cette question. Nous avons un rendez-vous clairement établi en la matière, celui des assises du médicament, mais également celui du compte rendu des missions parlementaires sur ce sujet.