Je comprends bien qu'en définitive il s'agisse, pour les uns et les autres, de se positionner. Pas par rapport aux médecins, pas par rapport aux patients, mais par rapport à votre formation politique : celui qui cognera le plus fort aura le plus de légitimité pour aborder ensuite les questions de santé au sein du parti socialiste. Malheureusement, votre démonstration n'en sort pas grandie.
Permettez-moi de lire quelques notes, car les tablettes électroniques permettent d'en prendre. Je sais bien que vous le savez, mais vous avez essayé tout à l'heure de faire à ce sujet un peu de provocation, ce qui est dommage.