C'est une vraie question. Il est évident que lorsqu'un faible pourcentage de femmes exerce des fonctions de responsabilité et qu'une réorganisation de ces postes est en cours, elles ont mathématiquement davantage de risques de disparaître. Mais ce point devra être vérifié notamment par le Secrétaire général du gouvernement en charge du dossier et auquel il a été demandé de veiller à tous ces points…