Les révoltes dans le monde arabe ne sont certes pas dirigées contre Israël, mais le chemin sera long jusqu'à la démocratie et au bien-être économique. Dans l'intervalle, pour détourner les mécontentements, les États de la région ne risquent-ils pas de faire d'Israël une sorte de bouc émissaire et de l'obliger à s'adapter à cette nouvelle donne, même s'il ne veut pas se faire dicter sa loi par l'extérieur ?