Vous avez à juste titre, monsieur l'ambassadeur, insisté sur la tribune de M. Goldstone car il en va pour Israël comme pour les élus : quand ils sont mis en examen, la presse y consacre une pleine page, contre trois lignes à peine quand ils sont relaxés. Il faudrait en effet que l'information soit diffusée largement auprès des parlementaires, d'autant qu'elle met en cause le conseil des droits de l'homme des Nations unies. Quelles initiatives l'État d'Israël entend-il prendre pour donner une suite à cette affaire ?