Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, je remercie d'abord les rapporteurs et le président Lequiller. Les conclusions du Gouvernement et celles du Parlement sont très largement convergentes et nous avons développé des visions parallèles.
Je reprends simplement les propos de M. de Rugy. En ce qui me concerne, j'accepte volontiers qu'on ne soit pas de la même opinion : c'est normal en démocratie. Ce que j'ai plus de mal à accepter dans un hémicycle comme celui-ci, ce sont les propos pleins de sous-entendus, les attaques sournoises, si vous me permettez ce terme, cette capacité que vous avez d'attaquer de cette manière puis de vous offusquer quand on vous répond.