Avons-nous le droit de démissionner dans une telle situation ? Avons-nous le droit de demeurer silencieux ? Pouvons-nous nous contenter de laisser, de l'autre côté de la Méditerranée, parce que nous avons des états d'âme qui sont autant de signes, ici, de lâcheté, un dictateur lancer des missiles contre son propre peuple ?
Tirant collectivement les leçons des erreurs que nous avons commises dans le passé vis-à-vis du monde arabe, nous nous devons d'être présents pour promouvoir une nouvelle donne, dès lorsqu'un peuple essaie de se soulever contre une dictature.