Cette proposition de loi aurait dû nous réjouir ; malheureusement, cela n'a pas été le cas ce soir dans l'hémicycle. J'observe avec tristesse la réaction de nos collègues sur un sujet qui aurait normalement dû emporter l'adhésion. Nous avons même entendu prétendre avec une certaine gravité voire, et cela m'inquiète davantage, avec une certaine sincérité, que le Président de la République serait responsable des montants exorbitants des transferts des joueurs en Europe. (Sourires sur les bancs du groupe UMP. – Protestations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)