Je concluais justement, monsieur le président.
Ces souvenirs sont ceux d'une France en fête. Malheureusement, le désengagement de l'État et les retards accumulés au cours des derniers mois donnent lieu à une proposition de loi qui sacrifie cet esprit sur l'autel du sport-business.
Nous ne voterons donc pas ce texte. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)