Cet amendement a été accepté par la commission. Il vise à renforcer et à valoriser le rôle, important, des familles et des aidants dans l'accompagnement des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques. C'est pourquoi il propose que le directeur général de l'ARS « veille à la qualité et à la coordination des actions de soutien et d'accompagnement des familles ».
C'est là une demande forte, et ancienne, de l'UNAFAM. Nous la soutenons. Et nous sommes heureux que cet amendement ait réussi à franchir l'obstacle de l'article 40. Je pense que nous pouvons le voter sans problème, les uns et les autres.