Que pensez-vous, monsieur l'ambassadeur, du silence de l'Union africaine sur les événements libyens ?
La France est déjà présente et délivre une assistance humanitaire. Ne pourrait-elle pas jouer un rôle de premier plan, notamment auprès du Conseil national de transition, pour soutenir l'opposition dans sa recherche d'une transition démocratique ? Dans cette hypothèse, quelles actions pourrait-elle mener ?