Je ne m'exprimerai pas sur le fond, car Mme Mazetier suit sa logique et nous la nôtre ; nous en avons déjà débattu hier soir. Ce n'est pas la peine d'interpeller les tribunes et les internautes, madame Mazetier, pour caricaturer le débat d'hier soir, difficile, certes, mais ouvert et correct. Cessez donc, j'y insiste, de caricaturer systématiquement ceux qui ne sont pas d'accord avec vous. Nous n'avons jamais prétendu que l'assistance donnée par la France avec vigueur, sans entrave, aux étrangers malades, devait être supprimée ni même diminuée ! Nous nous sommes simplement efforcés de revenir à un dispositif qui a bien fonctionné, sous le contrôle des tribunaux, et qui émane de la loi Chevènement de 1998.