Notre pays ne peut pas devenir la terre d'accueil de tous ceux qui cherchent à quitter leur pays pour trouver de meilleures conditions de vie.
Je note d'ailleurs que certains se félicitent à juste titre de la chute des régimes autoritaires au sud de la Méditerranée, en invoquant pour tous ces nouveaux migrants le statut de l'asile. Il faudra que l'on m'explique comment, d'un côté, on peut saluer l'avènement de la démocratie tunisienne, et de l'autre, faire de ces mêmes Tunisiens des réfugiés politiques ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)